« Cette décision unilatérale est un abus de pouvoir de sa part », dénonce Antoine Maurice, conseiller métropolitain au sein du groupe MECTS, qui devait porter le vœu.
« C’est une illustration de plus de la méthode de Jean-Luc Moudenc, qui allie brutalité et passage en force. » [Antoine Maurice] est d’ailleurs convaincu que Jean-Luc Moudenc « ne manifeste aucun intérêt pour la condition animale ».