« Dans un communiqué collectif, l’opposition dénonce que « Vinci refuse d’intégrer une clause permettant aux acteurs publics de se faire rembourser si les travaux se révèlent moins chers que prévu, notamment en raison d’une tendance chez Vinci à l’opacité sur les coûts réels des projets. L’exemple le plus parlant étant la construction de l’échangeur n°13 de Borderouge, où en dépit de subventions publiques, les coûts finaux des travaux n’ont jamais été présentés ».
En prenant en considération les 3 millions rajoutés par la Métropole, ils se questionnent sur l’intérêt du projet : « En cette période de crise, nous nous devons d’être responsables sur l’usage de l’argent public. Nous posons donc la question : en quoi ce projet est-il si vital qu’il puisse justifier de dépenser près de 18 millions d’euros sans aucune garantie de transparence de la part du groupe Vinci ? » »