« Un tour de passe-passe fiscal et financier de l’exécutif ! », fustige Michèle bleuse, élue d’opposition dans le groupe MECTS. « La TEOM doit baisser de 15 millions d’euros parce qu’un trop perçu serait juridiquement attaquable.»
« D’autre part, par la baisse des taux communaux du foncier et la hausse des taux métropolitains, les impôts vont mécaniquement augmenter de 15 millions €. (….) L’élue souligne plus généralement « la fragilité structurelle des finances de Toulouse métropole ».
Isabelle Hardy dénonce pour sa part « l’entêtement et l’amateurisme de Jean-Luc Moudenc. L’annulation du PLUiH est pour nous, une nouvelle catastrophique. Jean-Luc Moudenc aura eu un Plan de déplacements urbains annulé parce qu’ils ne répondaient pas aux urgences et un PLUiH annulé…»